Sur ce tournage particulier, il y avait plus de matériel pour le son que pour l'image. Ceci pour couvrir les 45 000 m² de terrain, de sorte à tout recevoir et enregistrer dans une régie centrale perchée en hauteur.
Stéphane Gessat, ingé-son, entre ses 50 caisses de matériel.
Photo : Marianna Riefolo
Photo : Marianna Riefolo
Photo : Marianna Riefolo
800 mètres de câbles couraient sur tout le terrain.
Photo : Laëtitia Laurent
Photo : Laëtitia Laurent
Pour gagner du temps, Florian Plénacoste a emprunté un vélo.
Photo : Laëtitia Laurent
Photo : Laëtitia Laurent
Photo : Guillaume Gallois
La mixette des micros-cravates de chaque acteur.
Photo : Marianna Riefolo
Photo : Marianna Riefolo
Une des 12 antennes réceptrices.
Photo : Guillaume Gallois
Photo : Guillaume Gallois
L'un des deux boîtiers récepteurs pour l'image. Les deux émetteurs correspondants étant reliés à la caméra. Ici, le récepteur le plus puissant pour (parfois) recevoir l'image en régie centrale.
Photo : Guillaume Gallois
Photo : Guillaume Gallois
Le second récepteur d'image servait à Alexandre Archenoult, directeur-photo, à modifier le point et l'ouverture du diaphragme en direct.
Photo : Guillaume Gallois
Photo : Guillaume Gallois
Le fait de tourner à 360° en passant et repassant dans certains lieux a poussé Anaïs Kieffert, électricienne, à parfois suivre les acteurs en portant elle-même ce projecteur.
Photo : Guillaume Gallois
Photo : Guillaume Gallois
Dans la glacière, premier cadre du film.
Photo : Laëtitia Laurent
Photo : Laëtitia Laurent
Alexandre Viollaz, opérateur steadicam.
Photo : Laëtitia Laurent
Photo : Laëtitia Laurent
Photo : Guillaume Gallois
Stéphane Gessat équipe Jean-Claude Dreyfus de son micro-cravate.
Photo : Marianna Riefolo
Photo : Marianna Riefolo
Photo : Guillaume Gallois
Photo : Cédric Berger
Photo : Cédric Berger
Photo : Guillaume Gallois
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